
Une nouvelle montre voit le jour à travers la collaboration entre Maen et IFL Watches. Limitée en quantité, elle propose un design inspiré d’un New York nocturne, entre ombres urbaines et lumière tamisée.
Un contraste fort avec leur première création commune axée sur le jour, qui donnait au cadran des airs de graffiti baigné de soleil.
Ici, place à l’obscur…
Pourquoi cette montre fascine les passionnés d'art urbain
La Manhattan After Dark est bien plus qu’un simple modèle relooké. Elle incarne un hommage créatif à la ville de New York telle qu’on la découvre à la tombée de la nuit.
Le cadran se transforme en toile nocturne, faisant écho aux lueurs, reflets et mystères propres à Manhattan après le coucher du soleil.
Contrairement à leur précédente édition "Graffiti" pleine de couleurs vives et estivales, cette version ose l’élégance sobre et plus conceptuelle.
Un travail minutieux sur les teintes sombres et les éléments phosphorescents vient renforcer cette orientation artistique.
Le résultat est un garde-temps à l’ambiance cinématographique, presque expérimentale, à mi-chemin entre art contemporain et horlogerie urbaine.
Une fusion peu commune, séduisante pour un collectionneur à la recherche d’une pièce de caractère.
Voici ce que l’on retient au premier regard de cette édition :
- Un cadran inspiré des néons et ombres de la skyline new-yorkaise
 - Jeux de lumière phosphorescente visibles uniquement dans l’obscurité
 
Zoom sur le boîtier : compact, robuste, intemporel
La montre se base sur le boîtier de la série Manhattan 37 de Maen Watches.
Avec des dimensions contrôlées — 37 mm de diamètre et 9,25 mm d’épaisseur — ce format habille aussi bien les poignets masculins que féminins.
Un choix stratégique dans une époque où les tailles plus contenues sont à nouveau plébiscitées en horlogerie.
Le boîtier est fabriqué en acier inoxydable 316L, un matériau reconnu pour sa robustesse et sa finition élégante.
Ce fond monochrome anthracite offre une belle toile de fond au motif central, monochrome lui aussi mais rehaussé d’éléments peints à la main.
Le cadran présente une fresque abstraite évoquant des immeubles stylisés, des lignes lumineuses qui ne se révèlent pleinement que dans l’obscurité grâce à des pigments phosphorescents.
Ces détails brillent momentanément lorsqu’ils sont exposés à la lumière, puis plongés dans le noir.
Les aiguilles, en contraste blanc, se détachent visuellement tout en conservant une cohérence avec l’ensemble.
Absence d’index classiques, pas de date : une esthétique épurée volontaire, proche d’un tableau minimaliste.
Un calibre automatique suisse pour garantir la fiabilité
D’un point de vue mécanique, la Manhattan After Dark repose sur un mouvement automatique suisse Sellita SW200-1.
Un calibre moderne connu pour sa fiabilité et sa longue durée de vie.
Il affiche une réserve de marche de 38 heures avec une fréquence de 28 800 alt/h.
L’ensemble est protégé par un verre saphir bombé traité antireflet, qui apporte une touche vintage au profil de la montre tout en assurant une grande résistance aux rayures.
L’étanchéité est assurée jusqu’à 100 mètres, ce qui la rend adaptée à un usage quotidien, même en conditions humides.
Autres points à retenir :
- Fond de boîte transparent laissant apparaître le mouvement décoré
 - Bracelet métallique à maillons fins, facilement ajustable
 
L’attention au détail jusque dans les finitions démontre le soin porté à cette édition limitée, chaque composant participant au récit de cette ville qui ne dort jamais.
Seulement 150 exemplaires produits en 2025
Ce modèle est produit en seulement 150 exemplaires et proposé au prix de 1 095 $ (soit environ 1 020 euros).
Un tarif justifié par le caractère exclusif, le travail artisanal de peinture manuelle réalisé sur chaque cadran et la faible diffusion.
Chaque montre est présentée dans un écrin dédié, accompagnée de son certificat d’authenticité numéroté.
Une pièce qui ne passera pas inaperçue lors de rencontres entre amateurs de belle horlogerie alternative.
Cet objet horloger s’adresse clairement aux passionnés de montres intemporelles, mais aussi aux amateurs d’art urbain ou aux collectionneurs cherchant une pièce à forte identité visuelle.
On retrouve ici le goût typique de certains artistes ou designers scandinaves pour le contraste, la lumière et l’abstraction discrète.
Cet attrait esthétique exalte depuis plusieurs années les modèles conçus par IFL Watches, notamment dans leurs séries customisées de Rolex ou Seiko qui affichent des gravures colorées entièrement faites à la main.
Dès lors, cette collaboration renforce une tendance nette : celle des montres en éditions artistiques ultra-limitée, qui mêlent un savoir-faire mécanique suisse à un message créatif audacieux.
Une réponse horlogère au mouvement NFT ? Non, mais une rime possible avec l’expérience visuelle personnalisée qu’attend la nouvelle génération.